Un apport massif à la culture personnelle

Après avoir découvert ce que vous apporte ces études, vous n’hésiterez pas à envisager une inscription sur institut-superieur-environnement.com. Grâce à ces études, l’étudiant acquiert une compréhension approfondie de la biodiversité, de l’écologie, et des enjeux environnementaux. De plus, les programmes de ces études empruntent de nombreuses connaissances à d’autres sciences : biologie, écologie, géographie, sciences sociales et économiques, etc. Cette approche interdisciplinaire enrichit énormément la culture de l’étudiant.

À une époque où la dégradation des écosystèmes et la perte de la biodiversité constituent des crises écologiques d’une rare gravité et sont donc des préoccupations majeures, la formation d’experts dans ces domaines est indispensable. Durant leur cursus, les étudiants apprennent à développer des stratégies de conservation efficaces. Ils sont également initiés à la conception de projets qui ont un impact positif sur l’environnement. Enfin, et non des moindres, ces études ouvrent des perspectives de carrière dans la recherche, la gestion des ressources naturelles, la conservation, ou encore le conseil en environnement.

Une contribution à la survie de la planète

On sait tous maintenant que la perpétuité de la planète et des espèces qui l’habitent, dont les humaines, ne dépend plus uniquement du développement économique et social. Sans la Nature, le Monde finira par dépérir. Ce sont des filières qui sensibilisent les étudiants aux défis environnementaux actuels. Il en résulte une grande implication personnelle dans la protection de l’environnement. Une fois qu’ils achèvent leurs parcours, les étudiants diplômés dans ces domaines sont en mesure de participer à des recherches importantes. Ils sont en effet en mesure d’aider à comprendre et à résoudre des problèmes environnementaux complexes. Ils ont aussi un rôle à jouer dans l’éducation et la sensibilisation du public : leurs actions influencent les politiques environnementales et, à ce titre, ils sont un des piliers du développement durable.

Une question de survie

Comment ferions-nous sans eau et sans nourriture ? L’être humain ne fera surement pas long feu sans ces deux choses essentielles à leur survie. Notre nourriture et notre eau proviennent toutes de l’environnement. Cependant, toute la pollution engendrée par l’homme est fortement nuisible à ces deux éléments. Notre eau devient souillée, les produits que nous consommons contiennent différents polluants qui causent des maladies, des malformations, etc., mais on voit aussi disparaitre des êtres vivants qui devraient contribuer au bon fonctionnement du cycle de la vie. Et le plus triste c’est que la plupart du temps, nous oublions à quel point nous dépendons de l’environnement, et nous le polluons sans même nous en rendre compte. Pourtant, protéger l’environnement c’est assurer notre survie, mais aussi celle des générations futures.

Préserver l’air que nous respirons

L’air est aussi un élément indispensable pour l’être humain. L’ensemble de notre corps et de notre organisme a besoin d’oxygène pour pouvoir fonctionner normalement. Et l’air que nous respirons nous en apporte à volonté. Ce que nous ignorons ou que nous essayons d’ignorer, c’est qu’en polluant notre environnement, nous polluons aussi notre atmosphère. Ce qui fait que l’air que nous inhalons dans nos poumons contient différents gaz, qui, à la longue, peuvent nous être nocifs. Même que pour circuler dans certaines grandes villes, le port de masque est devenu obligatoire, tellement l’air est sali et malsain. Il faut donc réagir, tant qu’il est encore temps. Ne pas polluer l’atmosphère implique aussi de veiller au soin des arbres et de toute l a verdure qui la compose. En effet, les arbres sont connus pour purifier l’air. Avec la déforestation massive actuelle, l’avenir de l’homme est de ce fait, en danger. Pour un air sain et vivable, nous devons changer nos habitudes de vie, et bien sûr prendre soin de la nature existante.

Les changements climatiques

Les changements climatiques font partie des répercussions les plus importantes, suite à la dégradation de notre environnement. Nous assistons, impuissants, depuis quelques années à un réchauffement climatique qui se fait déjà ressentir chaque année à travers les différents cataclysmes naturels causés par ce dernier. On peut noter par exemple, des conséquences néfastes comme l’inondation, la sécheresse, les tempêtes de plus en plus violentes, etc. Si ce problème persiste, l’équilibre déjà fragile de notre environnement va être de plus en plus perturbé et nous allons assister à l’extinction de diverses espèces essentielles à notre survie. Et pire encore, nous allons voir nos plantations et nos élevages qui ne vont plus pouvoir subsister à un climat qui ne leur est pas favorable. La première étape pour lutter contre les changements climatiques est donc, de baisser notre consommation en énergie et bien sûr, de baisser notre production de gaz à effet de serre. Il s’agit d’un effort à faire ensemble, car notre avenir, celle de nos enfants et de nos petits enfants en dépend.

Une augmentation des quantités à chaque utilisation

Les agriculteurs ont désormais l’habitude de dépendre des pesticides et des engrais pour avoir une bonne rotation culturale. Un agriculteur ne peut alors accéder à un système cultural plus simple sans le recours aux engrais et pesticides. Ils deviennent un tapis roulant de leur activité. Toutefois, plus les agriculteurs veulent maintenir cette rotation, plus les terres réclament l’utilisation de plus de pesticides et d’engrais.
Par ailleurs, au fur et à mesure, les terres peuvent créer une résistance aux pesticides. Dans ce cas, pour qu’ils soient efficaces, les agriculteurs ont besoin d’augmenter leurs doses. Or, plus on utilise de pesticides, plus la fertilité des terres diminue.

Une augmentation du coût de production

Au fil du temps, le coût d’achat et de pulvérisation des pesticides revient cher aux agriculteurs. Cette évolution de prix entraîne une baisse de revenu net. L’utilisation continuelle des pesticides diminue le rendement et les agriculteurs peuvent finir en faillite. Les facteurs de production synthétiques coûtent plus cher, or, le rendement diminue d’année en année.
En respectant un cycle de production naturelle, les agriculteurs profitent de la fertilité naturelle de la terre. La production naturelle leur permet de donner des produits bio tout en préservant la qualité de leur terre. Il est cependant bien connu que le tarif d’une production bio est beaucoup plus cher sur le marché.

Une réduction de ses effets sur l’environnement et la santé

Même si l’usage des pesticides est réglementé, elle représente quand même des risques pour les consommateurs. L’exposition continuelle aux pesticides est source de problèmes de santé graves. Par ailleurs, ce ne sont pas seulement les consommateurs qui courent un risque à l’utilisation des pesticides dans le domaine agricole.
De plus, les pesticides sont des agents toxiques. Ils ne se débarrassent pas seulement des mauvaises herbes et d’insectes nocifs. Ils sont également nocifs pour les agents de pollinisation et de la faune. Ces risques ne se limitent d’ailleurs pas à l’endroit pulvérisé. Certaines substances peuvent parcourir une grande distance dans l’environnement. C’est pourquoi, pour préserver l’environnement, on incite à la réduction de l’usage des pesticides.

Ce que vous apprendrez avec un Master dans l’environnement

Il s’agit d’un enseignement pluridisciplinaire qui conjugue des formations techniques et opérationnelles. Pourquoi faire un master dans l’environnement ? L’objectif du Master de l’environnement est de vous donner une connaissance pointue des développements socioéconomiques et de la maîtrise des territoires. Ces apprentissages tiennent compte aussi de la transition énergétique. Le cursus aborde les problématiques de l’impact des équipements industriels, du dérèglement climatique, des activités urbaines etc.

Vous apprendrez notamment à acquérir des informations environnementales, à maîtriser les enjeux sociaux de l’internet et les outils d’étude. Voici les axes de votre formation : les sciences environnementales, donc la biologie, la géographie, la géologie etc. puis le droit de l’environnement, des sols et de l’urbanisme. Les sciences sociales et les énergies renouvelables et nouvelles sont aussi au cœur de la formation.

Admission et débouchés du Master de l’environnement

Le Master de l’environnement est accessible après un Bachelor, une licence en Sciences et Vie de la Terre. Il est aussi accessible après une licence en Sciences humaines. Ce Master vous permet de décrocher un diplôme de niveau I, inscrit au RNCP. Le Master en Sciences de l’environnement est dispensé par les écoles proposant une formation de 1 ou 2 ans. Cette formation comprend différents stages et la réalisation concrète de projets. Vous devez vous rendre sur le site web de ces écoles pour l’inscription.

C’est là que vous trouverez les dossiers d’admission. En principe, vous subirez des tests notamment un test informatique, de culture générale et d’anglais. Comme débouchés, vous pouvez devenir chef de projet, éco-conseiller, chargé de projet en environnement, responsable des énergies renouvelables, travailler dans une organisation de protection de l’environnement, etc. Vous pourriez aussi viser un poste dans une collectivité locale ou dans l’administration par voie de concours. Les métiers de la prévention sont aussi à votre portée avec un Master dans l’environnement.

Comment le plastique affecte la vie marine ?

Pour les tortues, les poissons et les autres habitants de la mer, les sacs en plastique dans l’eau ressemblent à des méduses flottantes, et ils les ingèrent donc souvent. Pour eux, c’est un poison indigeste, et l’obstruction de leurs intestins ou la perforation ne sont que quelques-uns des dommages qui peuvent être causés. L’ingestion de plastique entraîne également l’absorption de substances chimiques toxiques contenues dans son contenu, comme les phtalates, qui sont des plastifiants affectant le système hormonal. On estime que 700 espèces de poissons, de mammifères marins et d’oiseaux de mer pourraient s’éteindre en raison de l’exposition quotidienne au plastique dans leur habitat. L’un des faits les plus effrayants nous concernant directement est que le plastique a la capacité de se décomposer en morceaux suffisamment petits pour passer de l’estomac à la chair des poissons, et que nous ingérons donc nous-mêmes le plastique que nous avons jeté.

Comment réduire l’utilisation du plastique ?

Malheureusement, à ce jour, 91 % du plastique dans le monde n’est pas recyclé, ce qui crée de très graves problèmes environnementaux. La bonne nouvelle, c’est qu’il existe quelques mesures simples pour lutter contre le plastique :
– Portez un sac à provisions en tissu
– Utilisez une bouteille d’eau réutilisable.
– Évitez de boire avec des pailles en plastique. Utilisez ceux en bambou ou en métal que vous pouvez porter sur vous à tout moment. Ils sont réutilisables et faciles à nettoyer.
– Apportez un gobelet réutilisable
– Évitez d’acheter des fruits et légumes dans des barquettes en plastique
– Abandonnez les couverts en plastique et utilisez des couverts en métal ou en coco.
– Abandonnez les assiettes en plastique et utilisez des assiettes en verre, en céramique ou en noix de coco.

Politique environnementale, quelle forme ?

Une politique environnementale n’a pas de forme obligatoire. Néanmoins, elle doit être personnelle, lisible et compréhensible. Personnelle, car comme il n’y a pas de standard, ce sont les visions de l’entreprise qui vont être représentées. Il ne faut pas qu’il décale trop. Le copier-coller est inadmissible. Lisible, car tout le monde va être autorisé à lire cette politique environnementale. Compréhensible, donc écrit avec simplicité et clarté. En même temps, elle est appelée à être réalisée. L’utopie ou la folie des grandeurs n’y a pas sa place. Le risque est qu’en voulant impressionner les autres, les rédacteurs promettent monts et merveilles. La politique n’est pas un idéal à atteindre. Il s’agit avant tout un ensemble d’objectifs à réaliser.

Quid du fond ?

La politique environnementale se colle aux activités déjà existantes. Elle en modifie certaines et peut en supprimer d’autres, mais généralement, elle doit refléter la personnalité de l’entreprise. C’est pour cela qu’avant la rédaction, une évaluation a été faite en amont. Ceci, afin de déterminer les efforts qu’il reste à fournir. La politique est un document réaliste, donc elle contient des rapports chiffrés. Par exemple, le coût des transformations, ou les impacts sur la production par exemple. Encore une fois, ce n’est pas qu’une profession de foi. Enfin, les engagements pris doivent coller aux lois environnementales existantes. Surtout, énumérer par secteur concerné les changements qui vont être opérés. De la matière première, au mode de livraison. Si l’entreprise est en collaboration avec une société qui a une politique environnementale, il est préférable d’en obtenir une copie. Afin de vérifier que les deux ne sont pas incompatibles.

Des jeux pour sensibiliser contre les armes nucléaires

En France, l’humour reste un excellent moyen de toucher le plus grand nombre. Les structures associatives ont imaginé différents supports ludiques pour sensibiliser sur le danger des armes nucléaires. Ce sont notamment des cartes qui expliquent que la dissuasion avec des bombes meurtrières ne constitue pas une solution. La sécurité nationale peut se négocier autrement. Puis, les rapports de forces pourront prendre d’autres formes. Les antinucléaires font un lobbying avec des supports de communication satiriques.

Participer à une manifestation antinucléaire

Les dangers des armes nucléaires sont bien réels. En cas d’attaques venant de l’extérieur, les partisans comme les détracteurs de bombes à champignon géant seront concernés. Une ou deux unités pourront rayer toute une ville. Ce sont des raisons pour lesquelles il faut participer activement aux manifestations. Les activistes pourront faire un meeting devant les institutions étatiques ou près des locaux des usines d’armement. Il faudra prendre conscience que les manifestations devant une caserne ou un autre endroit stratégique sont à proscrire.

Arrête de financer indirectement l’industrie d’armement

La France est l’une des championnes de l’exportation d’armes en tout genre. Les avions de chasse font la fierté du pays. Cette performance est en partie soutenue par la population. Le contribuable participe indirectement au financement des armes nucléaires. Près de 420 milliards de recette fiscale sont nécessaires à l’État français pour se doter d’un armement nucléaire dissuasif. Les entreprises privées ont aussi leurs mots à dire. En effet, elles obtiennent leur financement des banques primaires où les Français ont leur épargne.

La pollution sous toutes ses formes occasionne le stress

Le stress d’origine environnemental est bien une réalité. Les agressions d’ordre écologique peuvent affecter l’Homme au profond de lui-même. Le simple fait de se sentir dans un milieu hostile peut augmenter le taux des hormones du danger. L’organisme prend conscience des différents risques encourus en raison de la dégradation de l’environnement. Comment cela ? Certaines victimes d’inondation à répétition vivent avec la boule au ventre. Elles savent que les crues vont venir, c’est juste une question de temps. Pour gérer tout cela, il est possible de faire un exercice de respiration pour s’endormir, calmer son anxiété, son stress, ses angoisses.

Ceux qui habitent à proximité d’usines ou d’un central nucléaire ressentent aussi de plein fouet les effets de la pollution. Les populations résidant non loin des aéroports et des terminaux ferroviaires connaissent également un stress permanent. Au bout d’un moment, ces individus s’habituent avec la nuisance sonore, mais les décibels continuent de faire du tort à leur santé. Le changement climatique est un autre fait auquel personne ne peut y échapper. Quand la météo affiche un degré de plus sur la moyenne, cela suffit pour martyriser les personnes les plus vulnérables.

L’environnement immédiat en milieu urbain est source d’angoisse

Désignée par le nom « stress structurel », l’angoisse d’évoluer dans un environnement qui ne plaît pas est un véritable problème. De nombreuses personnes ressentent cette envie de vouloir changer de décor, sans pouvoir y apporter une quelconque amélioration à leur situation. La vue des barres HLM, le béton partout, la circulation et bien d’autres faciès du monde moderne peuvent torturer l’esprit quotidiennement. La conscience oublie ces détails au bout d’un moment, mais la personne continue d’en souffrir au plus profond d’elle-même. Cette forme de stress est assez diffuse. Parfois, il faut consulter un psychologue pour la diagnostiquer. Sachez qu’un cours de bien-être ou de méditation peut aider à mieux se sentir. Le coach est en mesure d’identifier le problème et d’en apporter des solutions concrètes. Ce guide moral a aussi pour mission d’apprendre à vivre le bonheur au quotidien, quel que soit l’environnement.

Vers une nouvelle pathologie liée au réchauffement climatique

L’écostress est une forme d’angoisse née de la crainte d’une dégradation de l’environnement. La personne a surtout peur de subir les conséquences d’un bouleversement écologique. Une enquête IFOP datant de 2018 indique que près de 85 % des Français sont conscients de la situation dans laquelle la planète Terre se trouve. Cette majorité de la population éprouve une crainte fondée. Cependant, certains individus sont beaucoup plus sensibles que d’autres. C’est le cas de Greta Thunberg pour qui les causes environnementales étaient une priorité dans la vie. Cette autiste a mis son cursus scolaire entre parenthèses pendant une année pour pouvoir éveiller les esprits. Le fait d’avoir fait des discours sur de prestigieuses tribunes dont celle du G20 lui a permis de mieux se sentir. Chaque être humain concerné par le réchauffement climatique éprouve cette volonté, mais peu ont encore franchi le cap.

Le minimalisme commence avec la décoration de la maison

Un mode de vie minimaliste requiert de faire un tri dans sa vie, à commencer par les affaires accumulées chez soi. Dans le salon par exemple, il faut le strict nécessaire. Ce qui limite souvent la déco à un canapé et un meuble télé. Une table basse pourrait également venir améliorer le living. Les vases et les bougeoirs en tout genre devraient disparaître pour laisser le maximum d’espace dans la salle de séjour. Ce lieu de vie n’a même pas besoin de cadre photo et d’autres décorations qui chargent l’ambiance. La cuisine de la maison minimaliste n’a pas systématiquement la fameuse batterie d’ustensiles et les services en porcelaine qui ne servent que rarement. Adossé au plan de travail, le bar avec les chaises hautes constitue une idée de génie pour gagner de l’espace. Cet aménagement évite d’avoir une vraie salle à manger trop encombrante. La chambre à coucher devrait avoir le strict minimum pour dormir.

Minimalistes : changez vos habitudes de consommation

L’Homme a tendance à accumuler dans son habitat des tas d’objets, dont certains lui sont totalement inutiles. Si vous pensez que vous avez trop d’affaires à la maison, pensez à vous en débarrasser. Essayez notamment de donner une seconde vie à vos vieux meubles. Débarrassez-vous des vêtements que vous ne mettez plus. Faites un don à une association caritative par exemple. Changez complètement de mode de consommation. N’achetez que ceux dont vous avez réellement besoin. En embrassant une vie minimaliste, vous verrez, vous allez faire des économies que vous pouvez plus tard investir dans des activités ou dans un placement. Méfiez-vous de la nourriture. En effet, c’est sur ce domaine que vous faites le maximum de gaspillage. Si le consumérisme vous déplaît, arrêtez de croire aux publicités. La société de consommation n’est plus d’actualité.

Les marrées noires tuent la faune et la flore marine

A chaque marée noire, les conséquences environnementales sont sans appel. Le déversement du mazout dans l’océan anéantit tout un écosystème. En effet, le pétrole ou ses dérivés tuent les planctons alors que ces derniers sont à la base de la chaîne alimentaire. Les crustacées et toutes les autres espèces sont privées de leurs nourritures respectives. Les poissons mais surtout les prédateurs sont victimes. Parmi les plus émouvants, il y a les baleines. Ces mammifères marins finissent par s’échouer sur la plage après avoir été intoxiquées. Parfois, les marées noires achèvent des espèces en voie de disparition.

Vos enfants pataugent dans du pétrole

Lorsque la cargaison d’un pétrolier se libère des cales en haute mer, les conséquences atteignent les plages. Pendant des années, les particules d’hydrocarbures vont se coller à la peau des baigneurs. Les enfants seront particulièrement vulnérables à ces polluants. Outre les maladies de la peau et l’irritation des yeux, des soucis respiratoires sont à craindre. Les adultes ne sont pas épargnés. Les effets du pétrole sont bien réels sur les femmes enceintes et les personnes âgées.

Des pertes en milliards de dollars

Chaque marée noire est un gouffre financier. Les entreprises qui arment les pétroliers essuient des centaines de millions d’euros de perte. Elles doivent aussi payer pour les dégâts. Les armateurs doivent notamment supporter le cout du sauvetage de l’environnement. En effet, il faut empêcher la tache de fioul de se rependre. A titre d’exemple, une panne au niveau d’un puits de pétrole au Nouveau-Mexique a couté 20 milliards de dollars à l’exploitant.